Depuis quelques années, Jimmy Hamel et sa femme Anne-Marie Demers ont fondé le refuge Lobadanaki pour protéger et sauver les animaux abandonnés ou blessés. Leur amour de la nature et des animaux les pousse à établir ce centre de réhabilitation. Toutefois, leur bataille n’est pas du tout aussi facile à cause du manque de ressources et d’espaces. Avant d’entrer dans le vif du sujet, détaillons d’abord les essentiels à savoir sur ce refuge.
Historique du refuge Lobadanaki
Comme cité ci-haut, les fondateurs du centre sont Anne-Marie Demers et son conjoint Jimmy Hamel. Ce couple a deux enfants et une idée vient dans leur esprit de transformer leur demeure en un centre de réhabilitation des animaux à Saint-Étienne-de-Bolton. Il suffit de voir leur maison et vous savez déjà à quel point cette famille adore la nature. Un petit coin de paradis, le refuge est entouré d’arbres. Son nom Lobadanaki se traduit « Protéger la terre »’ en Abénaki. En 2018, la famille a sauvé jusqu’à 177 animaux sauvages. Elle possède un permis pour accueillir des bêtes sauvages.
Ses principales activités
Le refuge abrite des animaux et oiseaux sauvages de la faune du Québec. Ces bêtes sont souvent blessées ou abandonnées et le centre les réhabilite pour les relocaliser dans la nature. Dès que ces animaux se rétablissent, les propriétaires les relâchent dans leur milieu naturel pour accorder leur liberté. Le but tient à leur offrir une seconde chance de continuer leur vie d’avant. Quelquefois, il arrive que Anne-Marie Demers retienne l’animal, parce qu’il n’est pas toujours envisageable de le retourner dans son milieu. Dans ce cas, le refuge le propose un habitat sain et qui remplit les conditions d’un lieu sauvage.
Les pensionnaires du refuge Lobadanaki
Il existe de multiples rescapés dans le centre de réhabilitation à savoir les moutons, alpagas, sangliers, poneys, pintades, faisans, poules, oies et bien d’autres. Certains animaux sont amenés par les gens. Quant aux autres, ce sont les propriétaires qui les récupèrent dans des encans ou sur Kijiji. Leur point commun est leur état désespéré, soit ils sont blessés soit ils sont abandonnés. Certains sont sur le point de mourir et les responsables ont fait le maximum pour les soigner dans les règles de l’art.
Pour conclure, il convient de mentionner que la bataille du refuge reste loin d’être facile. Le centre a besoin d’un financement pour mener à bien leur projet. C’est pourquoi il lance un appel à la générosité et une demande de financement au monde entier.
Pour apprendre davantage de choses au sujet des animaux, vous pouvez commencer par consulter régulièrement le portail Animal.ch.